Réduire ses apports alimentaires en cas de cancer modifierait l’expression de gènes impliqués dans le développement de la maladie et pourrait ainsi accroitre l’efficacité de certains traitements anti-tumoraux

Depuis l’élaboration des repères de consommation du PNNS, l’Anses a rendu de nombreux avis tant concernant l’évaluation des risques microbiologiques ou physico-chimiques liés à la consommation de produits de la pêche que de leurs bénéfices nutritionnels.

La correction d’un déficit en vitamine D pourrait jouer un rôle dans le traitement de l’insulinorésistance, perturbation fréquemment associée à l’obésité.

Limiter la consommation de viande dite « rouge » (contenant majoritairement des fibres musculaires rouges : porc, bœuf, veau, agneau) et de charcuterie : une recommandation aujourd’hui bien établie dans le cadre de la prévention nutritionnelle du cancer colorectal.

L’AESA a établi les besoins moyens en calories pour les adultes, les nourrissons et les enfants, ainsi que pour les femmes enceintes et allaitantes.