Pendant 12 semaines, 69 femmes en surpoids ou obèses ont suivi un régime hypo-énergétique identique en calories et en nutriments, mais réparti différemment sur les deux repas principaux : soit 50 % de l’apport énergétique total au déjeuner et 20 % au dîner, soit l’inverse.
Constat de cette petite étude
Les sujets dont l’apport énergétique était plus important au déjeuner présentent une perte de poids et une réduction de l’IMC significativement plus importante. Le taux d’insuline circulante et l’insulinorésistance sont également moindres. En revanche, tour de taille et profil lipidique sont améliorés sans différence significative entre les deux groupes.
Pour aller plus loin :
Majdj A, et al. Am J Clin Nutr 2016;104:982-9.
-
Boissons énergisantes : face aux risques avérés, une réglementation s’impose
-
Boissons énergisantes: l'ANSES identifie les risques associés aux boissons énergisantes
-
L’ostéoporose, un mal qui frappe au cœur des os
-
Remplacer le soda par du lait, du café ou du thé diminuerait le risque d’accident vasculaire cérébral
-
Le fromage jouerait un rôle important dans le fameux french paradox
-
Avis scientifique sur l'apport maximal tolérable en vitamine D